1. 4. ", « Grande cuvée pour Métailié : si l’on a retenu cette fresque sur l’assassin de Trostki, on aurait pu aussi choisir le livre de Couto. Ce numéro est consacré aux révolutions arabes. Le livre de L. Padura, L'homme qui aimait les chiens, nous plonge dans la noirceur absolue de l'entre-deux guerres. Les grands romans Nombre de pages 816 Dimensions 17,8 x 10,9 x 3,5 cm Poids 412 g Langue français Fiches UNIMARC S'identifier. « Il est l’un des grands noms de la littérature noire cubaine et hispanique. Dans L’homme qui aimait les chiens, il réalise son projet le plus ambitieux, tant sur le plan littéraire que politique. Inscrivez-vous maintenant pour accéder à des milliers de livres disponibles en téléchargement gratuit. Publié le 09/11/2021 à 15h00 Ecrit par Joséphine Voisart dans la catégorie Faits Divers . », « D’une écriture puissante et directe, Leonardo Padura livre un récit haletant, aux multiples rebondissements rythmés par les mensonges, les fuites, les prises de risque, les trahisons, les menaces et les histoires d’amour. L'homme qui aimait les chiens - Livre - En 2004, Iván, écrivain frustré et responsable d'un misérable cabinet vétérinaire de La Havane, revient sur sa rencontre en 1977 avec un homme mystérieux qui promenait sur la plage deux lévriers barzoï. Trouvé à l'intérieur – Page 577Du jeune homme qui aimait une vieille . Du Chat et du Rat . ... Des Chiens et des Corbeaux . ... Alors l'ụn dit : Ce n'est pas moi qui l'ai dit ; ni moi , dit l'autre , et tous jurèrent qu'ils ne l'avaient pas dit . Voir résultats de recherche pour cet auteur. Mario Conde a quitté la police. L’homme qui aimait les chiens : roman Leonardo Padura traduit de l’espagnol (Cuba) par René Solis et Elena Zayas Editions Métailié, 2011. Fnac : L'Homme qui aimait les chiens, Leonardo Padura, René Solis, Elena Zayas, A.m. Metailie". Ivan reconstruit les trajectoires de Lev Davidovitch Bronstein, dit Trotski, et de Ramon Mercader, alias Jacques Mornard, de la Révolution russe à la guerre d'Espagne, jusqu'à leur rencontre dramatique à Mexico. L.S.S. "Lire l'article entier, « C’est un livre bâti sur les ruines d’un rêve. Lorsque je m’assis dans la Pontiac pour attendre Daniel, je sus que j’étais au bord de l’évanouissement et j’eus la convic­tion que si mon ami ne me sortait pas du cimetière, je serais incapable de trouver une issue vers la vie. L’homme qui aimait les chiens Le coup de cœur d'Anny M. (Marseille) Leonardo Padura, né à Cuba, a commencé ce roman en 1989 suite à un premier voyage au Mexique qui l’a conduit sur les traces de Léon Trotski à l’occasion d’une visite de sa dernière demeure à Coyoacán. L'écrivain, journaliste et scénariste cubain Leonardo Padura est l'invité de Christophe Ono dit Biot depuis le festival Le Marathon des mots à Toulouse. L'Homme qui aimait les chiens . "L'homme qui aimait les chiens" lui fait des confidences sur Ramon Mercader, l'assassin de Trotski qu'il semble connaître intimement. Après quelques conversations, « l’homme qui aimait les chiens » lui fait des confidences sur l’assassin de Trotski, Ramón Mercader, qu’il semble connaître intimement. 75006 PARIS », HORS SERIE MARIANNE / LE MAGAZINE LITTERAIRE, « … telle une sublime et sombre fresque du XXe siècle, animée d’un souffle puissant qui emporte tout et d’abord le lecteur, de la première à la dernière ligne. Envahi par la nostalgie, Mario Conde, notre Marlowe tropical, mène des enquêtes presque métaphysiques tout en soldant une à une les illusions perdues de la révolution cubaine. Trouvé à l'intérieur – Page 577Du jeune homme qui aimait une vieille . - Du Chat et du Rat . Des qualités des Mouches . – Des Souris . De la bête Altilobi . Du ver Hydrus . De ce qui arriva entre le Renard et le Loup . ... Des Chiens et des Corbeaux . Après quelques conversations, « l’homme qui aimait les chiens » lui fait des confidences sur Ramón Mercader, l’assassin de Trotski qu’il semble connaître intimement. Ce message d’erreur n’est visible que pour les administrateurs de WordPress, Elu Meilleur roman historique par le magazine Lire - 2011. Votre chien vous accueille avec joie. – Iván, tu te sens mal ? C’est le cas avec ce très grand roman. En 2004, à la mort de sa femme, Iván, écrivain frustré et responsable d’un misérable cabinet vétérinaire de La Havane, revient sur sa rencontre en 1977 avec un homme mystérieux qui promenait sur la plage deux lévriers barzoï. Jamais on ne s’ennuie à la lecture de ce livre imposant, et qui n’est pas un roman historique. Poche – 2 octobre 2014. de. 5 Donner un avis Charte de rédaction et de modération 0. Il faut dire que L’homme qui aimait les chiens est à la fois incarnation et révélateur de l’actualité toujours renouvelée de l’histoire avec un grand H. Révélateur également des questionnements actuels sur les rapports, « orageux » parfois, entre histoire et fiction, entre le politique et la littérature. Une femme effrayée par un « homme étrange » qui la suit reçoit l'assistance de son Berger Allemand protecteur . Le soleil de sep­tembre brûlait le toit de la voiture, mais je sentais que je n’étais pas en état de bouger. Description. : Montre-moi comment il a fait, vas-y. Ivan reconstruit les trajectoires de Lev Davidovitch Bronstein, dit Trotski, et de Ramon Mercader, alias Jacques Mornard, de la Révolution russe à la guerre d'Espagne, jusqu'à leur rencontre dramatique à Mexico. Informations; EAN13 9782757884997 ISBN 978-2-7578-8499-7 Éditeur Points Date de publication 07/01/2021 Collection Points. Leonardo Padura. Les grands romans Nombre de pages 816 Dimensions 17,8 x 10,9 x 3,5 cm Poids 412 g Langue français Fiches UNIMARC S'identifier . Iván s’occupe d’un petit cabinet vétérinaire de la capitale de Cuba, La Havane. Lisez « L'homme qui aimait les chiens » de Leonardo Padura disponible chez Rakuten Kobo. Réécouter L’intelligence artificielle : c’est déjà demain, L’intelligence artificielle : c’est déjà demain, Réécouter Concert de Travis Scott : quand la foule tue, Concert de Travis Scott : quand la foule tue. Les plus utiles; Les moins bien notés; Les mieux notés; Les plus récents; Maddy 5 Achat vérifié Avis posté le 27 nov. 2019 suite à un achat le 24 sept. 2019 auprès d'un vendeur partenaire MarketPlace. Un … Télécharger un livre L'homme qui aimait les chiens en format PDF est plus facile que jamais. L’inconnu semblait connaître intimement Ramón Mercader, l’assassin de Trotski. Sur la plage de La Havane, Ivàn, écrivain frustré, a recueilli les confidences d'un homme mystérieux, promenant deux lévriers barzoï. La question de Dany, penché à la fenêtre, me fit sursauter. Avec "l'homme qui aimait les chiens", Leonardo Padura nous fait revivre d'un côté le périple de Léon Trosky fuyant le stalinisme jusqu'à son assassinat au Mexique en 1940. Les plus utiles; Les moins bien notés; Les mieux notés; Les plus récents; Maddy 5 Achat vérifié Avis posté le 27 nov. 2019 suite à un achat le 24 sept. 2019 auprès d'un vendeur partenaire MarketPlace. Iván reconstruit les trajectoires de Lev Davidovich Bronstein, dit Trotski, et de Ramón Mercader, connu aussi comme Jacques Mornard, devenus les acteurs de l'un des crimes les plus révélateurs du XXe siècle. L.S.S. L.S.S. L’Homme qui aimait les chiens, Leonardo Padura, traduit de l’espagnol (Cuba) par René Solis et Elena Zayas, Éditions Métailié, 2011 et 2013, 742 pp., 14 € (1ère publication en espagnol chez Tusquets Editores, Barcelone, 2009). – Repose en paix, furent les derniers mots du pasteur. Les grands romans Nombre de pages 816 Dimensions 17,8 x 10,9 x 3,5 cm Poids 412 g Langue français Fiches UNIMARC S'identifier. Comme si jane lynch avait soudainement demandé à quitter la série et que les scénaristes y avaient vu une opportunité pour se lancer dans une telle intrigue. Après quelques conversations, « l’homme qui aimait les chiens » lui fait des confidences sur l’assassin de Trotski, Ramón Mercader, qu’il semble connaître intimement. « L’Homme qui aimait les chiens » (El hombre que amaba a los perros), de Leonardo Padura. Une habile reconstitution des trajectoires de l'homme politique russe, Léon Trotski et de son assassin, Ramón Mercader. [SDM]. L'Homme qui aimait les chiens. L'Homme qui aimait les chiens, Leonardo Padura, René Solis, Elena Zayas, A.m. Metailie. Il suit l’itinéraire de deux hommes qui ont marqué l’histoire. » Lire l'article entier. : Juste après que tu lui as asséné le coup, qu’a-t-il fait ? Achetez neuf ou d'occasion. L'Homme qui aimait les chiens book. Traduit de l’espagnol (Cuba) par René Solis et Elena Zayas. Son album " Do Primeiro Fado Ao Último Tango " chez Warner Music. 5. Grâce à ces confidences, Ivan reconstitue les trajectoires des deux hommes et la façon dont ils sont devenus victime et bourreau, et replace ces faits dans le contexte cubain. 2. Trouvé à l'intérieurL'édition espagnole de «L'homme qui aimait les chiens» a dû être rééitée une cinquantaine de fois à l'étranger, et le cycle Mario Condé vient d'être adapté en série dans «Quatre saisons à La Havane», une production du géant américain du ... L’homme qui aimait les chiens alterne l’exil de Trotski et les années de formation de Mercader, la déchéance de l’homme public et la montée en puissance de l’agent de l’ombre. est dans l'appli Radio FranceDirect, podcasts, fictions. Photo d'illustration . On trouve surtout le sel des romans de Leonardo Padura, sa marque de fabrique : l’humanité qui irradie à chaque ligne, la nostalgie des vies qu’on ne vit pas, et l’art suprême de nous plonger dans une île qu’on emporte toujours ... Les grands romans Nombre de pages 816 Dimensions 17,8 x 10,9 x 3,5 cm Poids 412 g Langue français Fiches UNIMARC S'identifier . L'homme qui aimait les chiens PDF. L'homme qui aimait les chiens. L'inconnu semblait connaître intimement Ramôn Mercader, l'assassin de Trotski. Mais la nouvelle que son ostéoporose (probablem­ent due à une polynévrite carentielle déclenchée au plus fort de la crise des années 90) avait fini par évoluer en cancer des os nous confronta à l’évidence d’un dénouement proche, et moi, à la macabre constatation que seul un destin machiavélique pouvait se charger de miner ma femme en lui infligeant, justement, ce mal. La Havane. En 2004, Iván, écrivain frustré, responsable d’un misérable cabinet vétérinaire de La … Commentaires 1 Rose vendredi 13 septembre 2013 à 11h31. 0. Trouvé à l'intérieur – Page 210... le brave homme qui refusait de boire de la bière et qui aimait tant les chiens. Rue de la Fidélité, devant la maison dans laquelle le brave homme était entré hier soir, des hommes de Paulin Broquet s'étaient toute la nuit relayés. Trouvé à l'intérieur – Page 577Du jeune homme qui aimait une vieille . Du Chat et du Rat . ... Des Chiens et des Corbeaux . ... Alors l'un dit : Ce n'est pas moi qui l'ai dit ; ni moi , dit l'autre , et tous jurèrent qu'ils ne l'avaient pas dit . Trouvé à l'intérieur – Page 98Les paysages imitent toujours leurs peintres , dit - il ; il sourit parce qu'ils passent devant un chien qui lui rappelle un homme qui aimait les chiens tellement mieux que gens qu'il s'était fait enterrer dans un cimetière pour animaux ... Iván reconstruit les trajectoires de Lev Davidovich Bronstein, dit Trotski, et de Ramón Mercader, connu aussi comme Jacques Mornard, devenus les acteurs de l'un des crimes les plus révélateurs du XXe siècle. Trouvé à l'intérieurEncore une chose qui les rendait incompatibles. — Je comprends pourquoi tu aimes ta maison près du lac. ... Je pense d'ailleurs à adopter un chien. — J'adore les chiens ! ... Comment résister à un homme qui aimait les chiens ? L'Homme qui aimait les chiens Roman De Léonardo Padura Traduit par René Solis, Elena Zayas Points Points. Plongez-vous dans le livre L'homme qui aimait les chiens de Leonardo Padura au format Grand Format. L'homme qui aimait les chiens est un « roman historique » qui nous entraine dans la première moitié du XXe siècle,la Révolution Russe ,la guerre d'Espagne. Bien que Gisela, sa sœur, vînt fréquemment m’aider, je dus pratiquement cesser de travailler pour m’occuper de ma femme et si nous pûmes survivre durant ces mois-là, ce fut grâce au soutien d’amis comme Dany, Anselmo ou Frank, le médecin, qui passaient souvent nous voir dans notre petit appartement du quartier de Lawton pour nous apporter une aide, prise sur le maigre ravitaillement que, pour leurs propres subsistances, ils parvenaient à se procurer par les voies les plus tortueuses. 4. En 1989, pendant les jours étranges où commencent à souffler les vents de carême qui annoncent l'infernal printemps cubain, l'inspecteur Mario Conde rencontre une éblouissante saxophoniste, amateur de jazz. », « Il passionne de bout en bout. Brillant et ambitieux. Aller au contenu. 2004, La Havane. L’Homme qui aimait les chiens se présente comme la reconstruction littéraire de l’un des crimes les plus révélateurs du monde moderne. « L'homme qui aimait les chiens » lui fait des confidences sur Ramón Mercader, l'assassin de Trotski qu'il semble connaître intimement. », « Quel souffle chez cet écrivain cubain qui excelle à montrer sans fard le revers de la révoluion ! A la mort de sa femme, Ivan réfléchit à sa rencontre en 1977 avec Ramon Mercader qui lui a fait des révélations sur l'assassin de Trotski. Guerre augmentée : des technologies à double tranchant ? Ce livre est un chef-d'oeuvre. L'Homme qui aimait les chiens. En 2004, Iván, écrivain frustré, responsable d’un misérable cabinet vétérinaire de … L’HOMME QUI AIMAIT les chiens - Leonardo Padura - Métailié 2011 TBE - EUR 11,90. Trouvé à l'intérieur – Page 697De bonne heure , il fut le compagnon de l'homme en ses glorieux travaux , en ses plus nobles amusements 173 et les poëtes se ... Adrien 189 , qui aimait également les chevaux et les chiens , rendit les plus grands honneurs à son cheval ... Les personnages sont si finement ciselés qu'on les entends respirer. », « Leonardo Padura nous plonge dans "L’Homme qui aimait les chiens" au plus sombre du siècle passé. Poche. », « On n’a pas tous les jours l’occasion de lire une dénonciation sans pitié de toute une tranche d’histoire qui mette les larmes aux yeux. : Vous n’avez pas pensé que c’était un vieil homme sans défense et que vous agissiez avec la plus grande lâcheté ? Fnac : L'Homme qui aimait les chiens, Leonardo Padura, René Solis, Elena Zayas, Points". Les meilleures offres pour l'homme qui aimait les chiens sont sur eBay Comparez les prix et les spécificités des produits neufs et d'occasion Pleins d'articles en livraison gratuite! En cet automne 1989, le cyclone qui menace La Havane perturbe l'inspecteur Mario Conde au moins autant que la découverte de la corruption qui régnait parmi ses collègues du commissariat et la mise à la retraite de son chef. Il faut une passion d'historien, des centaines d'heures de recherche et une plume particulièrement habile pour donner la pleine mesure des purges staliniennes, sujet effrayant s'il en est. Lisez « L'homme qui aimait les chiens » de Leonardo Padura disponible chez Rakuten Kobo. », « … l’habile mise en abyme, les vies de Trotski et de son assassin… », « C’est le point de départ d’un grand roman, hymne aux illusions perdues et impitoyable réquisitoire. Leonardo Padura écrit un livre magnifique et profond et se sert de son habileté d'auteur de roman noir pour nous amener, sous la houlette de son héros Mario Conde, à réfléchir sur ce que signifie notre libre arbitre. 2004, La Havane. Trouvé à l'intérieur – Page 119Le roman que je viens de publier en Espagne, "L'homme qui aimait les chiens", a été commencé à ce moment-là, lorsqu'on a pris conscience de cette réalité totalement différente. C'est un roman plus universel, qui commence au Kirghizistan ... Au risque de me répéter (mais est-ce ma faute si tant d'excellents livres sont venus à moi depuis le début de l'année ? Informations; EAN13 9782864249009 ISBN 978-2-86424-900-9 Éditeur Anne-Marie Métailié Date de publication 19/07/2012 Collection Suites (176) Nombre de pages 672 Dimensions 19 x 12 x 3 cm Poids 650 g Langue français Langue d'origine castillan, espagnol Fiches UNIMARC S'identifier. », "Il faut laisser au lecteur le soin de découvrir toutes les nuances de rouge qui teintent ce superbe livre." 1. Alors qu'il approche de son 60e anniversaire, Mario Conde broie du noir. », « Où les mensonges d’État s’avèrent constitutifs et l’endoctrinement une sinistre contagion… », « Padura mêle encore, de façon inextricable, l’invention et la documentation […] Il met à nu le système politique cubain, sclérosé par l’aveuglement idéologique, le mensonge et la manipulation.