Trouvé à l'intérieur – Page 351On a vu qu'en matière de contestation de paternité, la jurisprudence n'était pas unanime quant à la solution à adopter en cas ... à cette action recouvre les modes de preuves, les conditions et le délai d'intentement de l'action » 213. L'article 531 du Code civil du Québec (CcQ) prévoit: «Toute personne intéressée, y compris le père ou la mère, peut contester par tous moyens la filiation de celui qui n’a pas une possession d’état conforme à son acte de naissance. Vous devez vous adresser à un tribunal pour contester la paternité. Dans le même sens mais à propos du délai de 5 ans : dans trois arrêts du 27 février 2013 relatifs à des actions en contestation de paternité alors que la possession d'état était conforme au titre depuis au moins 5 ans depuis les reconnaissances, la Cour de cassation a affirmé que « le délai de cinq ans prévu par l'alinéa 2 de . filiation: loi marocaine écartée car contraire à l'ordre public international, Filiation paternelle après adoption à l’étranger et respect de la vie privée, Action en recherche de paternité , refus de se soumettre à une expertise biologique. Modes alternatifs de règlement des conflits. Le tribunal de la famille est compétent pour toutes les demandes relatives à la filiation. La mère peut également demander au tribunal d’ordonner la modification du nom de famille de l’enfant - si celui-ci porte le nom de famille de l’ex-petit ami tel qu’indiqué dans le certificat de naissance original - afin de le remplacer par le nom de famille de la mère. Trouvé à l'intérieur – Page 69Si le mari est mort avant d'avoir fait sa réclamasi on lui avait caché la naissance de l'enfant . tion , mais étant encore dans le délai utile pour la faire , les héritiers auront deux mois pour contester la légitimité de l'enfant ... Les tests de paternité servent à prouver l'existence ou non d'un lien de filiation entre un enfant et son père présumé. Trouvé à l'intérieur – Page 267Delai . ) - Dans le cas de désaveu de paternité , si la naissance a été cachée au mari , le délai de deux mois que l'art . 316 lui fixe pour intenter sou action , court , non du jour où le mari a pu soupçonner sa fraude , mais du jour ... Les conditions de recevabilité de l'action en contestation de paternité. bonjour a tous et merci pour tous vos messages . La constatation ou contestation judiciaire d'un lien de filiation La constatation judiciaire du lien biologique vise à établir le lien de filiation. Trouvé à l'intérieur – Page 3137EDH une législation qui prévoit qu'une contestation de paternité doit être exercée dans un certain délai, et non de façon illimitée, en considération de l'intérêt de l'enfant. • CEDH sect. V, 8 janv. 2007, K. c/ Rép. tchèque, ... Trouvé à l'intérieur – Page 2073EDH une législation qui prévoit qu'une contestation de paternité doit être exercée dans un certain délai, et non de façon illimitée, en considération de l'intérêt de l'enfant. • CEDH, sect. V, 8 janv. 2007, K. c/ Rép. tchèque : req. no ... (Cass, Civ1, 1er février 2017, pourvoi n° 15-27.245, Publié au bulletin), Cette actualité est associée aux catégories suivantes : Filiation Le cabinet, situé à proximité du Palais de Justice, vous représente sur Bruxelles, Nivelles, Namur, Huy, Liège . En l’espèce, l’action avait bien été introduite dans le délai de 5 ans contre le père légitime, mais pas contre l’enfant. Si la paternité d'un homme marié est remise en cause il est possible de faire tomber la présomption de paternité ou bien encore d'agir directement en contestation de la paternité. et je crois en plus que la contestation est nul passé 30 ans...... une petite consultation chez un avocat de votre choix (une centaine d'euros) s'impose pour vous rassurez sur les lois...........donc du travail en vue pour vous, trouvez un bon notaire , et trouvez un bon avocat, pour connaitre vos droits...........la vie n'est pas un long fleuve tranquille, et la vie est belle.................. je n'ai pas citer l'affaire montand en exemple, mais cela pour expliquer que l'ont ne fait pas une exumation comme cela......... car le papa étant décéder, il faudrait bien faire une exumation pour prélever l'aADN, tout cela est caduque puisqu'il y a apparemment presciption..... Dominiquecaen, je vous prie de m'excuser de vous contredire mais l'article 311-7 n'existe plus depuis l'ordonnance du 4 juillet 2005 et il n'y a plus de distinction entre filiation légitime ou naturelle. Pour agir en contestation de paternité, la preuve de la non paternité peut être rapportée par tous moyens (témoignages, lettres…). En présence d'une possession d'état conforme, la personne désignée par le défunt pour gérer son testament et réaliser ses dernières volontés ne peut pas exercer une action en contestation de filiation, car il n'est pas un héritier.  -  Trouvé à l'intérieur – Page 117La contestation de la légitimité de l'enfant né trois cents ticle 328 , l'action en réclamation d'état est ... 516 , puisque le tion , et notamment à l'action en désaveu de paternité délai accordé au mari pour réclamer est de rigueur ... Trouvé à l'intérieur – Page 20092. 764, note J. M. 2. Prescriptibilité et Conv. EDH : principe. N'est pas contraire à l'art. 8 Conv. EDH une législation qui prévoit qu'une contestation de paternité doit être exercée dans un certain délai, et non de façon illimitée, ... Dans un arrêt du 15 mai 2019 (n° 18-12.602), la Cour de cassation précise qu'il incombe au juge de vérifier d'office si la contestation de reconnaissance de paternité est recevable au regard, non seulement de la loi de son auteur, mais également de la loi personnelle de l'enfant de nationalité étrangère. L'action pour interrompre la prescription doit être dirigée contre le père mais également contre l'enfant. Du délai pour agir en contestation et établissement de paternité. Lauren, de Laval, a accouché en novembre dernier. La législation juridique et financière évolue en permanence... Guide pratique des Donations & Successions, Quelle formule de politesse pour votre lettre, Dictionnaire du droit : tous les mots-clés de A à Z. Bonjour, L'action en contestation de paternité est ouverte à toute personne ayant un intérêt quand le titre (=l'acte de reconnaissance de votre père) n'est pas conforme à la possession d'état (=pour résumer, le fait qu'il ne vous ait pas élever) MAIS est prescrite par dix ans à compter de la reconnaissance, pour ce tiers (=votre belle-mère). Menu. La preuve de la paternité peut être rapportée par tous moyens. La Cour de cassation a par conséquent rejeté le moyen qui invoquait la méconnaissance de la Convention européenne des droits de l’homme : « Attendu, selon l’arrêt attaqué (Paris, 22 septembre 2015), que Noé A... a été inscrit sur les registres de l’état civil comme étant né le [...] de M. A... et Mme Y..., qui l’avaient reconnu avant sa naissance ; que M. X... a assigné M. A... en contestation de paternité le 14 novembre 2012, puis la mère de l’enfant, en qualité de représentante légale, le 28 février 2013 ; qu’un jugement du 17 décembre suivant a désigné un administrateur ad hoc aux fins de représenter l’enfant ; Attendu que Mme Y... et M. X... font grief à l’arrêt de déclarer l’action en contestation de paternité irrecevable alors, selon le moyen, que les délais de prescription comme de forclusion peuvent être interrompus par une demande en justice ; qu’en affirmant que le délai quinquennal prévu par la loi était un délai de forclusion pour en déduire qu’il était insusceptible d’interruption et de suspension et qu’il n’avait donc pu être interrompu par l’assignation délivrée le 14 novembre 2012, la cour d’appel a violé les articles 333, alinéa 2, et 2241 du code civil ; Mais attendu que, si le délai de forclusion prévu par l’article 333, alinéa 2, du code civil peut être interrompu par une demande en justice, conformément à l’alinéa premier de l’article 2241 du même code, l’action en contestation de paternité doit, à peine d’irrecevabilité, être dirigée contre le père dont la filiation est contestée et contre l’enfant ; que, la cour d’appel ayant constaté que Noé A... n’avait pas été assigné dans le délai de cinq ans suivant sa naissance, il en résulte que l’action était irrecevable, l’assignation du 14 novembre 2012, dirigée contre le seul père légal, à l’exclusion de l’enfant, n’ayant pu interrompre le délai de forclusion ; que, par ce motif de pur droit, substitué, dans les conditions de l’article 1015 du code de procédure civile, à ceux critiqués, la décision se trouve légalement justifiée de ce chef ; Attendu que Mme Y... et M. X... font le même grief à l’arrêt alors, selon le moyen, que l’auteur de la contestation soutenait que la Convention européenne des droits de l’homme faisait prévaloir, en matière de filiation, la mise en conformité de la filiation juridique à la réalité biologique, et que les règles de prescription ou la conformité du titre et de la possession d’état ne pouvaient faire échec à son droit au recours devant les tribunaux tendant à privilégier la réalité biologique sur la filiation juridique ; qu’en affirmant que n’était pas contraire à l’intérêt supérieur de l’enfant la décision du législateur qui, à l’expiration d’une période de cinq ans pendant laquelle le père juridique s’est comporté de façon continue, paisible et non équivoque comme le père de l’enfant, avait fait prévaloir la vérité sociologique en ne permettant pas de rechercher quel était le père biologique, sans rechercher si, en vertu de la Convention européenne des droits de l’homme, celui qui se prétendait être le père avait le droit de faire primer la vérité biologique, la cour d’appel a privé sa décision de base légale au regard de l’article 8 de la Convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales ; Mais attendu que M. X... s’est borné, dans ses conclusions d’appel, à invoquer la prééminence de la vérité biologique ; qu’après avoir constaté la possession d’état de l’enfant à l’égard de M. A..., l’arrêt énonce que le législateur a choisi de faire prévaloir la réalité sociologique à l’expiration d’une période de cinq ans pendant laquelle le père légal s’est comporté de façon continue, paisible et non équivoque comme le père de l’enfant, ce qui ne saurait être considéré comme contraire à l’intérêt supérieur de celui-ci ; que la cour d’appel, qui a ainsi procédé à la recherche prétendument omise, a légalement justifié sa décision ». Trouvé à l'intérieur – Page 113... lieux de la nais le délai utile pour la faire , les héritiers sance de l'enfant ; auront deux mois pour contester ... en désaveu nité , il faut que cette paternité se trouve at contre un enfant né de la femme de l'absent , testée . je m'interroge sur le paragraphe repris ci-dessous en copier coller. Trouvé à l'intérieur – Page 125Ce délai est calqué sur celui de l'action en contestation de la paternité du mari 94 et celui, désormais, ... pas réservé le même délai pour agir dans ce cas à l'enfant, puisque celui-ci peut agir en contestation de la paternité du mari ... Il assure ainsi des prestations de qualité dans ce domaine. Trouvé à l'intérieur – Page 3116EDH une législation qui prévoit qu'une contestation de paternité doit être exercée dans un certain délai, et non de façon illimitée, en considération de l'intérêt de l'enfant. • CEDH, sect. V, 8 janv. Faut il comprendre qu'un enfant atteignant l'âge de 18 ans ayant pour père juridique l'ex mari de sa mère et ayant vécu 2 ans avec le couple (possession d'Etat) avant le divorce peut encore agir en contestation de paternité ? Trouvé à l'intérieur – Page 267( Délai . ) - Dans le cas de désaveu de paternité , si la naissance a été cachée au mari , le délai de deux mois que l'art . 316 lui fixe pour intenter son action , court , non du jour où le mari a pu soupçonner sa fraude , mais du jour ... Trouvé à l'intérieurLe délai de six mois était un délai préfix (CA Amiens, 7 janvier 1998, Juris-Data, no 040234). — L'action en désaveu est devenue une action en contestation de paternité. — Voir : délai préfix, enfant, maternité, paternité, ... Le délai de prescription en droit français pour intenter l'action en recherche de paternité, n'est-il pas disproportionné au regard du but poursuivi par rapport à l'article 8 de la Convention européenne des droits de l'homme et des libertés fondamentales